Zone 41 (Atlantique, Sud-ouest)

Le merlu argentin (Merluccius hubbsi) - chalut de fond (flotte réfrigérante) FIP a été lancé en septembre 2023 par Caméra Argentine de Armadores de Buques Fresqueros de Altura (CAABPA) avec l’appui technique de CeDePesca.

Merlu argentin (Merluccius hubbsi) est une espèce démersale-pélagique qui habite les eaux froides liées aux courants subantarctiques. C'est l'une des principales ressources halieutiques de la mer d'Argentine. Le stock sud de l'espèce est réparti entre 41°S et 48°S. La pêche industrielle est composée de deux flottes principales : la flotte de congélation et la flotte de réfrigération. Les deux flottes utilisent des chaluts de fond comme engin de pêche. La pêche est gérée par le Conseil fédéral de la pêche (Consejo Federal Pesquero) et le Secrétariat national de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche (Secretaría de Agricultura, Ganadería y Pesca de la Nación), tandis que la recherche et l'évaluation des stocks sont entreprises par l'Institut national de la pêche. Recherche et développement (Instituto Nacional de Investigación y Desarrollo Pesquero).

Le calmar à nageoires courtes est réparti dans l'Atlantique Sud-Ouest, du Brésil au sud de l'Argentine, aux îles Falkland et à l'est jusqu'en haute mer. La pêcherie d'encornets à nageoires courtes est l'une des plus grandes pêcheries d'encornets au monde et l'une des quatre plus importantes pour l'Argentine.

Le calmar à nageoires courtes a une courte durée de vie, d'environ un an. Les adultes ont tendance à être associés au fond marin et se trouvent généralement entre 100 et 600 mètres de profondeur. Il existe plusieurs populations de reproducteurs saisonniers, ce qui entraîne une reproduction qui se produit tout au long de l'année.

Le calmar à nageoires courtes étant une espèce annuelle, son abondance est difficile à déterminer et varie considérablement d'une année à l'autre.

Dans les eaux argentines, la pêcherie se concentre sur une seule population qui est divisée en quatre sous-unités à des fins d'évaluation : patagonie sud, bonaerensis/patagonie nord, frai d'été et frai de printemps. Seules les deux premières unités sont ciblées pour la pêche et elles sont évaluées comme des unités distinctes.

La flotte de pêche, qui opère dans toute la ZEE, est la seule flotte occidentale qui utilise des turluttes pour capturer le calmar à nageoires courtes. Les navires jigger pêchent normalement la nuit, concentrant les hauts-fonds avec la lumière de lampes puissantes situées sur les ponts des navires, souvent complétées par des lampes sous-marines.

La saison de pêche pour les navires autorisés à pêcher le calmar (établie par la résolution 973/97 du Secretaría de Agricultura, Ganadería, y Pesca) s'étend du 1er février au 31 août, lorsque l'espèce migre sur le plateau continental. Une fermeture désignée est appliquée entre septembre et janvier pour protéger les juvéniles. Entre le 1er février et le 30 juin, la pêche est autorisée au sud de 44° S et s'exerce sur deux sous-populations : Summer spawning (concentrations reproductrices) en début de saison et South Patagonian (concentrations pré-reproductrices) durant toute la période. La saison de pêche au nord de 44° S débute le 1er mai et se termine le 31 août. La sous-population de Bonaerensis/North Patagonian (concentrations pré-reproductrices) est capturée pendant cette période, tout comme la sous-population de frai printanier, mais dans une moindre mesure et en fin de saison.

Comme d'autres pêcheries de céphalopodes, la pêcherie argentine de calmar est largement affectée par un certain nombre de facteurs. Le recrutement et l'abondance peuvent être très variables sur des échelles de temps annuelles, ce qui rend très difficile l'établissement de délais de rétablissement. Il n'est pas clair si la diminution de l'abondance de la SPS est due à la surpêche, à des conditions environnementales défavorables ou à d'autres circonstances externes. Cependant, aucune information n'a été trouvée sur la nécessité de reconstituer le stock SPS, aucun calendrier de reconstitution n'a été spécifié pour le stock et rien ne prouve que les stratégies de reconstitution actuelles le reconstituent. En outre, il n'existe pas de règles ou d'outils spécifiques de contrôle de l'exploitation pour la pêcherie argentine d'encornets à nageoires courtes qui ajustent les niveaux ou les taux d'exploitation en réponse aux indicateurs de l'état des stocks. Ceux-ci doivent être élaborés à terme en concertation avec l'INIDEP et le système de gestion.

Les recherches effectuées par l'Institut national des pêches à la fin des années 1970 ont identifié un stock potentiellement exploitable de crabe rouge des grands fonds (Chaceon notialis) en Uruguay. Suite à cela, des évaluations menées au milieu des années 1980 dans la ZEE uruguayenne ont estimé une biomasse exploitable de près de 22,000 1993 tonnes, correspondant à l'un des niveaux de biomasse les plus élevés de stocks de géranidés connus dans l'ensemble de l'océan mondial. En 2005, la pêche hauturière du crabe rouge est apparue dans la ZEE uruguayenne. Un plan de gestion a été établi en mai XNUMX, basé principalement sur la dynamique de la biomasse du stock, incluant un total autorisé des captures (TAC).

La pêcherie à accès limité est exécutée par deux navires-usines dans la zone nord de la zone économique exclusive (ZEE) uruguayenne, les captures étant transformées à bord. Les prises sont transformées pour produire des produits de parties du corps appelés «grappes» qui représentent collectivement environ 64% du poids vif du crabe.

La pêche est exécutée à l'aide de casiers appâtés le long de palangres espacées d'environ 27 à 30 mètres. La pêche a toujours utilisé des casiers en bois traditionnels avec un espacement des lattes qui permet aux petits crabes de s'échapper. Cependant, le navire opérant dans la zone sud a utilisé des casiers à armature métallique avec des mailles étirées de 100 m, tandis que le navire opérant dans la zone nord a toujours utilisé les casiers traditionnels en bois.

La pêcherie opère toute l'année, bien qu'il y ait eu des variations considérables dans la distribution saisonnière de l'effort de pêche par chaque navire. Il y a également eu des variations annuelles considérables dans la distribution des efforts de pêche selon la profondeur et la latitude.

La pêcherie est régie par des permis délivrés à chaque navire. Les permis annuels des navires spécifient une allocation de capture qui représente la part du navire du total autorisé des captures (TAC). Chaque navire est également limité à 200 jours de pêche par an. D'autres règlements de pêche sont également spécifiés dans les permis, y compris l'interdiction de retenir les femelles, une taille minimale légale de 95 mm LC et un maillage minimal de 100 mm dans les casiers coniques. En 2007, l'espacement lat des casiers en bois a été augmenté pour permettre une plus grande fuite des petits crabes et réduire le pourcentage de rejets.

Depuis 2007, il existe également des restrictions de profondeur, conçues pour protéger les femelles ovigères aux profondeurs les moins profondes dans les eaux nordiques et pour protéger les pré-recrues aux plus grandes profondeurs. En outre, la pêche est fermée de juillet à décembre en dessous de 600 m de profondeur, pour protéger les mâles et les femelles migrateurs pendant la saison de reproduction hiver-printemps. Les navires sont également tenus de maintenir un système de surveillance des navires (VMS) et de se conformer aux exigences relatives au transport d'observateurs. 

Les débarquements (convertis en poids vif) sont passés de 184 t en 1993 à 4100 t en 2000, diminuant à 1600 t en 2001 et 2002 en raison de la baisse de la demande étrangère, qui a de nouveau augmenté à partir de 2003. Les débarquements ont diminué de 2003 à environ 300 t en 2015 et il n'y a pas eu de pêche en 2016. Les débarquements des dernières années ont varié de 670 à 1000 2017 t au cours de la période 2019-XNUMX.

Récemment, il y a eu un changement important dans la pêche, car les permis de pêche ont été acquis par une nouvelle société qui a choisi de promouvoir l'activité grâce à des améliorations visant une gestion durable. En ce sens, il a été décidé en 2019 de s'orienter vers une démarche de certification MSC. Les résultats de ce processus ont mis en évidence la nécessité d'apporter diverses améliorations au processus d'évaluation des stocks, à la surveillance et aux règles de contrôle des prises. De plus, l'enquête et l'analyse des espèces associées à la pêche, à l'environnement et à l'écosystème doivent être améliorées, et il faut améliorer les processus de gestion et de participation.

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L'enquête terminée par l'Instituto Nacional de Pesca aux amendes de la décennie de 1970 a identifié une población potentiellement cosecable de cangrejo rojo (Chaceon notialis) en Uruguay. Después de eso, las evaluaciones realizadas a mediados de la década de 1980 dentro de la ZEE uruguaya estimaron una biomasa cosechable de casi 22.000 toneladas, correspondiente a uno de los niveles más altos de biomasa de poblaciones de geriónidos conocidos en todo el oceano global. En 1993 surgió una pesquería de cangrejo rojo en la ZEE uruguaya. En mai 2005, il a été établi un plan de gestion basé principalement sur la dynamique de la biomasse de la population, y compris un total admissible de captures (TAC).

La pesquería de entrada limitada es ejecutada por dos buques factoría en la zona norte de la Zona Económica Exclusiva (ZEE) del Uruguay, con la captura procesada a bordo. La captura se procesa para productos de partes del cuerpo conocidos como "racimos" qu'en conjunto representan alrededor del 64% del peso vivo del cangrejo.

La pesquería se ejecuta utilizando trampas de cebo a lo largo de palangres espaciados a unos 27-30 metros de distancia. La pesquería ha utilizado históricamente trampas de madera tradicionales con espaciamiento de listones que permite que los cangrejos pequeños escapen. Sans embargo, el buque que opera en la zona sur ha utilizado trampas de estructura metálica con un tamaño de malla estirada de 100 m, el buque que opera en la zona norte siempre ha utilizado las tradicionales trampas de madera.

La pesquería opera durante todo el año, aunque ha habido una variación considérable dans la distribución estacional del esfuerzo pesquero por cada buque. Aussi ha habido una variación anual considérable en la distribución del esfuerzo pesquero por profundidad y latitud.

La pesquería opera bajo permitos émetidos a cada buque. Los permisos anuales de los buques especifican una asignación de capturas that representa la participation del buque in el total admissible de capturas (TAC). Cada buque también está limitado a 200 jours de pesca cada año. Autres réglementations de pêche également spécifiques en los permisos, y compris la prohibición de retener hembras, una talla mínima legal de 95 mm a ras de la mujer y una dimensión mínima de malla de 100 mm en trampas cónicas. En 2007 se aumentó el espacio lat de las trampas de madera para permitir un mayor escape de cangrejos más pequeños y reducir el porcentaje de descartes.

Desde 2007 también hay restricciones de profundidad, diseñadas para proteger a las hembras ovígeras en las profundidades más superficiales en las aguas del norte y para proteger a los pre-recrutas a las mayores profundidades. Además, la pesquería está cerrada durante julio-diciembre por debajo de los 600 m de profundidad, para proteger a los machos y hembras que migran durante la temporada de apareamiento invierno-primavera. Los buques también están obligados a mantener un sistema de vigilancia de buques (VMS) ya cumplir con los requisitos para transporter observadores.

Los desembarques (convertidos en peso vivo) augmenté de 184 t en 1993 à 4100 t en 2000, disminuyendo a 1600 t en 2001 et 2002 debido a la disminución de la demanda externa, que volvió a augmenté à partir de 2003. Los desembarques disminuyeron de 2003 a unas 300 t en 2015 y no hubo pesca en 2016. Los desembarques en los últimos años han oscilado entre 670 y 1000 t durante 2017-2019.

Recientemente se produjo un cambio important en la pesquería, ya que los permisos de pesca fueron adquiridos por una nueva empresa qu'ha optado por impulsar la actividad a través de mejoras dirigidas a la gestión sostenible. En este sentido, durante 2019 se decidió avanzar hacia un proceso de certificación MSC. Los resultados de este proceso evidenciaron la necesidad de varias mejoras en el proceso de evaluación de las poblaciones, el monitoreo y las reglas de control de cosechas. Además, se debe mejorar el estudio y análisis de las especies asociadas a la pesca, el medio ambiente y el ecosistema, y ​​es necesario mejorar los procesos de gestión y participación.

Pêcheries de la rue Beaver ainsi que CeDePesca ont signé un accord pour concevoir un FIP dans le but ultime d'obtenir un statut certifiable MSC pour la pêche au chalut Croaker et au filet maillant de fond qui se déroule dans le sud du Brésil.

Croqueur (Umbrina canosai) est une espèce démersale répartie entre Rio de Janeiro (Brésil) et Rio Colorado (Argentine), exploitée principalement sur le plateau continental du sud du Brésil, et a une grande importance économique.

Selon une évaluation des stocks menée en 2006, le stock de courbines était alors surexploité. De plus, la pré-évaluation MSC réalisée par CeDePesca en novembre 2021 a montré que le système de gestion spécifique à la pêcherie n'est pas suffisant pour reconstituer le stock ni pour assurer qu'il fluctue autour d'un niveau compatible avec son rendement maximal durable. De plus, au début de ce FIP, la stratégie d'exploitation n'est pas bien structurée, il n'y a pas de règle de contrôle de l'exploitation et il n'y a pas eu de programme de statistiques de pêche en continu depuis 2008.. Ce FIP visera à améliorer les pratiques et les politiques de pêche au Brésil afin que les stocks puissent être reconstitués à leur niveau optimal.

Au Brésil, la pêche est gérée par le Ministère de l'agriculture, de l'élevage et de l'alimentation (MAPA), par l'intermédiaire du Secrétariat de l'aquaculture et de la pêche (SAP). Cependant, le Comité permanent de gestion et d'utilisation durable des ressources démersales du Sud-Est et du Sud (CPG), qui avait pour objectif de fournir des conseils pour l'exploitation durable des ressources démersales -y compris la courbine- a été suspendu en 2019. Récemment, en avril 2022, le SAP/MAPA a publié une liste des institutions qui composeraient le CPG. Ce FIP visera à réaliser le rétablissement effectif du CPG pour les ressources démersales du sud-est et du sud et à s'assurer qu'il se réunit régulièrement pour traiter les problèmes graves de la pêcherie.

En général, ce FIP vise à résoudre tous les obstacles à la durabilité qui ont été identifiés lors de la pré-évaluation du MSC, et Beaver Street Fisheries et CeDePesca souhaitent unir leurs efforts avec d'autres parties prenantes de la chaîne d'approvisionnement pour obtenir un statut certifiable pour les pêcheries.